24 février 2010
Chaleur
Sais-tu que quand les heures s'écoulent en jours interminables
Une grisaille infinie tel un chaos sans nom envahi corps et âmes
Nul remède autre que rêver de cordes et flammes accouplées
Soulignant de chaleur ta peau offerte qui lentement se balance
Hissée en cadence au gré de mes griffes et d'une cave damnée
Immolé à nos vices et tout à ma merci tu ne peux que te rendre
Noué, modelé, fusionné tout entier dans ma toile de chanvre
Et alors le temps s'arrête...
Lady_DvL
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